Les Ateliers de la Communauté > Jeu de Rôle (2009)

L'histoire... Chapt 1 - Rencontres dans les Sables

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Ludovic:
:jdr-oswald:

Oswald est surpris par l'attaque. Il pensait que son plan avait fonctionné jusqu'à ce que le mioche se fasse avoir. Trop tard pour tenter quoi que ce soit. A cet distance et avec un simple couteau rétractable, par question de faire face à des gardes bien équipé. Il prend la sacoche des mains de Gwenzai tout en lui demandant discrètement de faire feu. Puis il court dans le couloir sans attendre de voir la suite des évènements; des rafales se font déjà entendre. Une fois un tournant passé et avant que tous ne rameutent il prend la tenue de garde de la sacoche et l'enfile prestement. Il n'omets pas le masque. Puis il cours vers la cache de Aldhar Hozat; l'objectif: lui demander de mettre fin par tous les moyens au possible massacre. Non pas que l'idée d'un massacre lui déplaise - il n'en a cure - mais parce que tout ceci finira par lui être très désavantageux...

Arvelt:
:jdr-mdj:

D'un geste tout ce qu'il y a de professionnel, Gwenzai abat le second garde. Puis enleve le masque qu'il portait jusque là. S'tian en a fini avec sa proie, et Oswald a filé. Il lache a son jeune compagnon :

"Je crois qu'il a un plan, mais je serais bien en peine de dire quelle place il nous y reserve... en tout cas on ferait bien de pas trainer, apres ce raffut."

Mais il n'a aucune idée de la topographie des lieux, les galeries s'enchainant comme un véritable labyrinthe. Il range son pistolet, puis il attend que S'tian tranche.

Pendant ce temps, Oswald fonce à travers des couloirs qu'il connait bien, depuis le temps qu'il fricote avec ces contrebandiers. Rapidement, il atteint la porte blindée des appartements de Hozat...

Depuis de longues secondes l'alerte a été donnée. Indifférent à la faction qui recueille leur sympathie, les gardes se sont précipités vers leurs armes et se dirigent vers l'endroit où ont été tirés les coups de feu. C'est dans cette agitation que trois hommes opérant jusque là à l'extérieur reviennent avec leur "invité"...

Anudar:



Au dernier moment, le garde cherche à se décaler, comme s'il voulait se soustraire à l'impact de S'tian. De la sorte, il échappe au contact des aiguilles, mais s'expose au coup de couteau dans le dos qui tranche sa moëlle épinière. Privé de mobilité, il s'effondre et S'tian l'achève d'un coup à la base du crâne.
:stian: "Et un pour S'tian !"
Tout en lançant son cri, S'tian se retourne pour faire face au deuxième garde. Mais une rafale, tirée par Gwenzai, vient de l'abattre.
"Je crois qu'il a un plan, mais je serais bien en peine de dire quelle place il nous y reserve... en tout cas on ferait bien de pas trainer, apres ce raffut."
S'tian hoche la tête en remerciement à l'adresse de son compagnon tout en nettoyant sa lame sombre avec un morceau de tissu arraché à la cape de sa victime. Puis il rengaine son arme et s'empare du CD-CC3.
:stian: "Bon. Ce foireux d'Oswald doit déjà être loin, je n'ai pas vu par où il est parti et avec ce rafut, impossible d'entendre le bruit de ses pas... On a un problème, Gwenzai, ça commence à puer grave ici !"
Il tourne la tête dans toutes les directions...
:stian: (Là ! Il n'y a pas de bruit qui vient de ce couloir !)
Un bref coup d'oeil lui permet de distinguer plusieurs embranchements dans le lointain. Donc, c'est un secteur de la grotte où ils ont une chance de trouver de quoi se cacher, s'embusquer... voire peut-être même de quoi s'échapper. Une chance infime, mais tout de même, ça vaut mieux que rien.
:stian: "Gwenzai, on se tire par là !"
Et, brandissant son arme volée, il s'élance de toute la vitesse de ses jambes dans le couloir silencieux.

Ludovic:
:jdr-oswald:

Oswald appuie impatiemment sur la sonnette d'Hozat. Le temps presse. Il jette régulièrement un oeil à droite et à gauche, tendu. Grande catin, quand ce maudit contrebandier va-t-il ouvrir??

Arvelt:

:jdr-mdj:

Tandis que S'tian et Gwenzai se trouvent un recoin offrant une position défensivement avantageuse, mais sans garantie de pouvoir s'échapper par un des accès, car ils ne connaissent pas l'agencement des galeries, Oswald tambourine presque à la porte de Hozat. Deux contrebandiers le remarquent et s'approchent :

- He! interpelle le premier. T'as pas entendu ? L'alerte. A quoi tu joues ?

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