de Dune à Rakis - Forum Duniversel Francophone
L'Univers de Dune => Cycle de Dune par Frank Herbert => Discussion démarrée par: Tentaal le juin 09, 2005, 10:14:30 pm
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En pleine relecture du cycle je suis tombé à l'instant sur un passage de "Les enfants de Dune" que je trouve assez fabuleux...
Ed. Pocket, p.108
"Le temps venu, quant les jumeaux seront pleurés, cela devra être réel exactement jusqu'à la confection de la tombe. Le coeur doit suivre le sommeil, de crainte qu'il n'y ait nul éveil."
Dans le langage perdu, la phrase était extrêmement complexe, usant d'un complément d'objet pronominal distinct de l'infinitif. La syntaxe permettait à chaque segment intérieur de se retourner sur lui-même et d'acquérir plusieurs sens différents, chacun étant parfaitement distinct et défini bien que tous fussent interdépendant de façon subtile. Ainsi, Ghanima venait-elle de déclarer que l'un et l'autre risquaient la mort par le plan de Leto.
Frank H., respect ! :ace_tracker:
Ce passage me pousse à l'admiration et me fait en même temps hurler de rire.Mais il paraît que j'ai un sens de l'humour assez développé... :D
Y a t-il des extraits qui vous ont particulièrement marqués d'une manière ou d'une autre?
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Oui, bien sur.
Dans tous le cycle, plusieurs passages m'ont marqués, et bien que j'ai projeté de me les noters, je n'en ai encore rien fait. Il faut dire qu'ils sont nombreux. Mais ils le sont principalement dans les trois premier livres (Dune, Messi, Enfant)
La fin de Dune, par exemple. Quand Dame Jessica parle à Chani d'épouses et de concubines. C'est tout con, assez inatendu (à postiori) pour du Frank Herbet ... un peu sentimental, quoi. Mais c'est tellement bien. Et bien repris ausis dans la mini série, je dois l'avouer.
Le délire de Liet dans le désert... il ne ma marqué qu'à mes deux dernières lectures, d'ailleurs. Mais il est instructif au possible!
L'entrevue entre Dame Jessica et la Shadou Mapes. Intense. Plus intense encore : Dame Jessica et Thufir Hawat. Deux esprit puissants. Et on commence a entrvoir le pouvoir de Dame Jessica, il me semble.
La scène de la mort de Chani ( :ace_pleure: ) dans le sietch, la totalité, de la mort de Chani au meurtre que commet Paul. Lamentablement eroné dans la mini série.
Une sène très émouvante entre Alia, Dame Jessica, et Hara.
Dans le enfants de Dune, je me souviens de l'arrivé de Jesscia (le retour ... oups ! j'ai oublié de mettre DAME devant !) sur Dune. Le combat qui s'y déroule à cette ocasion. La froideur d'Alia (et de Jessica, aussi).
Dans les enfants de Dune, le passage que tu cite. Et quasiment tous les passages avec Ghanima et LetII. Du "je t'aimes plus que moi-même, mais tu n'es pas le plus tendre de mes désire", à "l'un de nous devait accepter la douleur, et il a toujorus été le plus fort".
Dans le messi, le moment ou Alia découvre qui est le messi. Le "regard" que lance Paul directement sur Alia.
Ah, dans le messi, le combat de Alia contr un robot combatant, et ... l'intervention de Paul (un peu macho, mais bon, oh combien magnifique ! :-D )
Bref. Je ferais un jour un receuille de mes passages préféré, mais autant recopier les livres en entier. (tiens, si ca interesse qq'un ... :ace_twixy: )
atr
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Sans aucun doute, mon passage favori de Dune est celui où la Bataille d'Arrakeen bascule... En anglais parce que je n'ai pas la version traduite sous la main mais, vous verrez, cela vaut la peine.
But the Emperor stood alone now on his dais pointing toward the doors. A forty-meter section of the hutment had been blasted away there and the selamlik's doors opened now onto drifting sand. A dust cloud hung low over the outside world blowing from pastel distances. Static lightning crackled from the cloud and the spark flashes of shields being shorted out by the storm's charge could be seen through the haze. The plain surged with figures in combat -- Sardaukar and leaping gyrating robed men who seemed to come down out of the storm.
All this was a frame for the target of the Emperor's pointing hand.
Out of the sand haze came an orderly mass of flashing shapes -- great rising curves with crystal spokes that resolved into the gaping mouths of sandworms, a massed wall of them, each with troops of Fremen riding to the attack. They came in a hissing wedge, robes whipping in the wind as they cut through the melee on the plain.
Onward toward the Emperor's hutment they came while the House Sardaukar stood awed for the first time in their history by an onslaught their minds found difficult to accept.
But the figures leaping from the worm blacks were men, and the blades flashing in that ominous yellow light were a thing the Sardaukar had been trained to face. They threw themselves into combat. And it was man to man on the plain of Arrakeen while a picked Sardaukar bodyguard pressed the Emperor back into the ship, sealed the door on him, and prepared to die at that door as part of his shield.
Pour moi tout Dune est dans ce passage : l'Empereur et les Sardaukar ne comprenant que lorsqu'il est trop tard que l'ordre sclérosé qu'ils représentent va prendre fin, la bataille qui est plus un déchaînement d'éléments et de forces de la Nature qu'un simple conflit d'hommes... Lorsque j'ai lu Dune pour la première fois, je n'avais que la connaissance du jeu Dune 1 dont la fin est assez différente dans la forme de celle du livre... Ce passage m'a paru tellement naturel, si beau que je le regarde souvent, sans forcément lire le livre en entier.
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Moi, mon passage favori reste le moment, dans les Enfants, où Leto et Ghani jouent au jeu des parents et que Leto (et Paul) repousse Chani qui souhaite prendre la place de sa fille.... ça a l'air sentimental comme ça mais à chaque fois, ça me fait qqchose...
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Idem que Leto , à chaque fois que je lis ce passage, ça me fait un petit pincement au coeur.
Un autre dans la meme veine :
le passage ou Miles bouscule Duncan dans le non globe Harkonnen des HDD pour lui faire retrouver sa mémoire iriginelle. C'est émouvant quand on l'entend évoquer sa jeunesse en larmes.
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Un des passages qui me "bouleverse" le plus c'est celui où Leto II (et oui toujours Leto II, désolée on ne se refait pas :D ) s'interroge sur son sentier d'or et se demande si il serait possible de revenir à l'état d'humain. Ce passage se situe après sa rencontre avec Hwi.
On ressent tout son désespoir et sa solitude. Je trouve que c'est à ce moment que l'on se rend compte que son sacrifice est total.
Et la fin du chapitre
Au portail, une Truitesse murmura à une autre :
-Dieu est toumenté?
Et sa compagne répondit :
-Qui ne le serait, dans cet univers de péché?
Leto les entendit et pleura en silence.
:ace_pleure:
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Plusieurs passages m'ont mrqué dans l'oeuvre d'Herbert. Mais l'agonie de Leto est celui qui me viendrais en premier à l'esprit. Ensuite viendrais la réponse de Duncan à Bellonda qui vient pour l'exécuter. Maintenant, il faudrait que je relise les deux premiers tomes aussi.
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Je vais finir par croire que je suis le seul à ne pas trop aimer Leto II ici ! Il faut vraiment que je relise la partie du cycle qui le concerne pour savoir si j'en ai gardé un mauvais souvenir justifié ou non...
Sinon, un autre passage que j'aime bien c'est celui où Miles Teg redonne ses souvenirs au ghola dans les Hérétiques de Dune... La façon dont il doit le réconforter alors que lui-même est dans un sale état émotionnel. Frank Herbert savait décrire des personnages d'une grande sensibilité, c'était l'un de ses plus grands talents.
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Un passage qui a aussi failli m'arracher des larmes, c'est à la fin du Messie de Dune, quand Chani meurt, et que Paul fou de douleur s'offre en pâture au Désert tandis que les jumeaux nouveaux-nés déja orphelin tombent sous la coupe d'une régente complètement schizo. ça c'est de la happy end comme je ne m'y connaît pas.
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Mon passage favori est en fait tout le chapitre qui est au début du "Messie de Dune" quand Chani et Paul parlent d'avoir un autre enfant, des complots d'Irulan, du Jihad et aussi de retourner dans le désert. En fait, j'aime beaucoup tout ces petits moments où Paul n'est plus un dieu, ni un chef de guerre mais juste un homme...
Ca fait partie pour moi des moments les plus émouvants, comme qd Leto II rêve à son humanité perdue dans "L'empereur-Dieu". Sans oublier bien-sûr la mort de Chani et Paul qui part seul dans le désert, la première fois que j'ai pleuré en lisant un bouquin.
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Oh moi aussi.. quand Alia dit "quel fou, nous mourrons tous alors que lui il vivra pour l'éternité".. enfin je dis de tête mais il me semble que c'est ça... puis aussi "l'un de nous ...." Mais c'est vrai que c'est touchant l'amour entre LetoII et Iwi Noree... j'aime bien !
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Un passage que j aime aussi, c est quand Alia est possedee par le Baron, qu il fait taire toutes les voix interieures et qu il domine tout. :)
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j'aime beaucoup la relation entre Alia et le baron. La folie grandissante ect...
Et aussi le passage ou Murbella se fait prendre à son propre piège avec Idaho devant Lucille. :D
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Et aussi le passage ou Murbella se fait prendre à son propre piège avec Idaho devant Lucille. :D
On se demande pourquoi :P :wink:
Mais comme toi, j'ai beaucoup aimé la scène où Leto II est seul dans sa salle d'audience à se morfondre sur sa vie de ver... On ressent de la peine pour un soi-disant tyran qui a tout, maîtrise tout et est extrêmement puissant, mais incroyablement seul, de par cette nature justement...Et que dire du dénouement final !
J'aime également beaucoup la scène Dama-Lucille sur la politique, où Lucille se rend compte qu'à la fin, elle a perdu...(A noter que les mamours avec le Futar sont parfois tordants)
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J'ai plus de 18 ans alors j'ai le droit :mrgreen:
Beaucoup de passage avec Leto II m'ont beaucoup plus. (en fait je pourrais presque citer tous le livre :mdr: ) On ressent souvent sa solitude malgré, comme tu le dis, sa toute puissance sur tout.
J'ai entamé la Maison des mères mais j'ai pas encore fini. Je suis dessus en ce moment.
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A bien y réfléchir, je me rappelle maintenant que moi aussi, à la lecture de la mort de Chani, j'ai, pour la première fois, pleuré en lisant un livre. Cela ne m'était encore jamais arrivé. Et j'ai également trouvé trés émouvant certains passage entre Leto II et Hwi Noree. Je l'ai lu il y a deux mois, je ne peux quand même pas le relire maintenant ? Hein ?
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C'st vrai.. moi aussi je me susi surpris à pleurer en lisant uin bouquin, j'évais honte.. je suis heureux de ne pas être le seul :) !
Sauf que moi c'était à la fin... comme je l'ai dit précédemment.. puis ca a recommencé a la fin des Enfants, et enfin quand LetoII tombe dans le ravin et agonise devant Duncan Idaho !
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Pleurer en lisant Dune est une expérience assez bizarre. Moi aussi je m'étais sentie un peu bête sur le coup mais plutôt à cause de tout ce que j'avais lu sur l'importance de l'eau sur Arrakis et tout ça.
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Je veins de lire un autre passage dans Dune qui m'a marqué, c'est les retrouvailles Gurney-Paul-Jessica. Le "votre père se serait plutôt préoccupé des hommes et non des portants"..... bref j'adore...
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Je l'ai lu il y a deux mois, je ne peux quand même pas le relire maintenant ? Hein ?
Mais si!!! L'EDDD est à consommer SANS modération!! :wink:
Le passage de l'agonie de Leto II reste un de mes passages préférés aussi. Je le trouve très émouvant parce que même si la douleur est intense, Leto II réussi quand même à donner sa dernière Leçon. En plus l'apparation des restes son "corps" lors de la "métamorphose finale" je trouve ça très poignant! :ace_pleure:
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J'oserai une référence à "La maison Corrino" que je suis en train de lire.
J'ai bien aimé le chapitre avec le Conseiller en étiquette Mephistis Cru qui débarque chez le baron et son stupide neveu pour leur donner, sous les conseils de De Vries, un cours de bonnes manières.
J'imagine tout à fait cette scène :
- Si vous le voulez bien, procurez-vous la liste des invités au banquet. J'ai l'intention d'étudier leurs biographies pour mettre au point certains compliments que le Baron pourrait utiliser afin d'entrer dans leurs bonnes grâces.
- Des compliments? fit le Baron.
Rabban ravala son rire en voyant l'expression furieuse de son oncle
c'est cette manière de dire "Des compliments".. lol quelque chose d'impensable de la part du Baron...
Ou encore, après un accès de colère du Baron :
- Il vaut infiniment mieux, infiniment mieux je le dis, exprimer votre réponse en forme d'excuse sincère et authentique. Par exemple : "Je suis désolé, je n'avais pas prévu de considérer ce problème selon nvotre point de vue. Néanmoins, j'ai pris la décision que je jugeais la meilleure. Peux-être qu'en travaillant ensemble, nous pourrons aboutir à une solution qui nous sera mutuellement profitable." (Mephistis Cru leva ses mains élégantes en un geste théâtral, comme s'il attendait des applaudissements.)
J'aime bien... dans le contexte de la maison harkonnen cette scène est assez comique...
Toujours le maître en étiquette
....
Quant au spectacle, il lconviendra de décider d'une distraction qui enrichira l'esprit de chacun.
- Nous avons déjà prévu un tournoi de gladiateurs, trancha le Baron, Ici, sur Giedi Prime, c'est la tradition.
Les traits du conseiller se convulsèrent en une expression d'horreur absolue
Imaginez la tension dans la pièce..
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MMM ils sont marrant les bouquins du filston :lol:
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Je suis sur le 1er tome en ce moment (enfin le 2nd maintenant...) et j'ai donc relu la scène du repas donné sur Arakis.
J'adore ce passage, avec tous les sous-entendus, les tensions, les regards qui "veulent tout dire" et las attitudes qui laissent deviner les pensées de chaque personnage... C'est un repas mais cela s'apparente plus à une joute.
Bref, ce passage fait parti de ceux que je préfère, surtout avec Kynes. On ressent tout le pouvoir de l'homme dans ce passage. Et puis c'est dans ce passage qu'il "se range" aux côtés des Atréides et donc par son biais les fremens.
Un passage très prenant. :D
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Oui, quand je l'ai relu, je voulais aussi indiquer ici que c'était un de mes passages préférés, mais j'ai oublié. Un plaisir à relire, même de manière isolée, lorsqu'on est en manque :)
Un concentré du génie d'Herbert.
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C'est vrai que dans ce passage on peux parler de :
Un concentré du génie d'Herbert.
J'aime surtout les perceptions/impressions de Paul et de Jessica. Le fait qu'ils sentent que Kynes ment. Tout ces secrets autour de la "biologie" du désert.
D'ailleurs le passage de la première rencontre de Kynes avec le Duc et Paul est également un de ceux que j'affectionne. La rencontre de ces 3 hommes est un passage qui se lit "sans faim" (ou sans fin au choix :D )
(j'ai bien fait de me remettre à lire le cycle, je le redécouvre...)
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Je suis sur le 1er tome en ce moment (enfin le 2nd maintenant...) et j'ai donc relu la scène du repas donné sur Arakis.
J'adore ce passage, avec tous les sous-entendus, les tensions, les regards qui "veulent tout dire" :D
J'en avais parlé à un ami de ce passage, justement! Il est excellent.
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Nous sommes donc tous d'accord. De toute façon je rédécouvre pleins de passages palpitants... Celui de la 1ere nuit de Paul dans le désert avec sa mêre, là ou il "voit" pour la première fois le Jihad et qu'il découvre sa prescience. Tout lui arrive d'un coup. Mais c'est étrange, j'ai l'impression que ma dernière lecture de l'EDDD me permet de mieux apprécier ce passage en particulier. Etrange ... :D
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Moi un des passages qui m'a le plus marqué (même s'il y en a d'autres!), c'est celui où alors que la bataille d'Arrakis se déroule dehors, l'Empereur Shaddam pense encore maîtriser la situation. Et plus particulièrement lorsqu'Alia qui n'est encore qu'une enfant menace tout le monde et fait peur à Mohiam... Sans oublier le moment où la petite Alia révèle à son grand-père qui elle est juste avant de le tuer ! :ace_huhu:
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C'est pas un passage forcément émouvant ou autre que je vais vous mettre, mais la définition de l'écologie qu'à donnée FH par l'intermédiaire du père de Liet Kynes:
Ce que ne comprend pas celui qui ignore tout de l'écologie, c'est qu'il s'agit d'un système.
Un système qui maintient une certaine stabilité qui peut être rompue par une seule erreur.
Un système qui obéit à un ordre, à un processus d'écoulement d'un point à un autre.
Si quelque chose vient à interrompre cet écoulement, l'ordre est rompu.
Et celui qui ignore l'écologie peut ne pas intervenir avant qu'il ne soit trop tard.
C'est pour cela que la plus haute fonction de l'écologie est la compréhension des conséquences.
J'adore cette définition, et je l'ai épinglée au dessus de mon bureau au boulot :wink:
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Très réaliste ! Un principe à mettre en oeuvre aujourd'hui.
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je l'aime bien aussi mais pas dans son intégralité : le caractère trop figé de l'équilibre/ordre me rebute...
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au contraire, l'équilibre dont il parle est instable, le système est en équilibre à un instant donné et si un evenement affecte cet équilibre, le système devient instable. mais comme il s'agit de biologie et non de physique, l'intensité de l'évenement perturbateur doit atteindre une certaine limites pour rompre l'équilibre
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C'est tout à fait ce que j'en pense (mais on en avait déjà parlé sur un autre topic, et il y avait eu la même "polémique" il me semble...) :wink:
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oui en effet
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Donc on va s'arrêter là 8) :wink:
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tout à fait !!
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mon passage favori...il y en a plein en fait...mais comme j'adore l epersonnage d'Alia...forcement...jaime la plupart des passages ou elle est présente dans les enfants de dune....surtout le passage ou elle tente de faire assasiner sa mère et puis aussi le moment ou elle se suicide...
Sinon la mort de Leto2 est resté gravée dans ma mémoire, la premiere fois je lai lu a plusieur reprises....
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2 passages
chani disant a paul : parle moi des eaux de ton monde natal, usul
`
et paul s'ecriant au desert : pere, le dormeur s'est reveille
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J'ai plusieurs passages préférés... j'aime bien le Messsie de Dune est aussi les moments où Alia devient l'Abomination, dans les Enfant de Dune. Je suis très sensible à ce que je ressens comme la détresse d'Alia.
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C'est vrai que toute la partie traitant du commencement et de la progression de l'Abomination chez Alia est très touchante. Surtout le passage ou Duncan part en orni et ou elle se retrouve seule avec toutes les voix qu'y l'envahissent.
Et l'apparition du Baron bien sur.
La mort d'Alia est aussi un des passages qui m'a le plus touché.
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Ouep, l'episode de l'abomination d'alia est touchant.
La question est pas evidente quand même, bon si y'avait vraiment 2 ou 3 passages qui me fiche les frissons c'est:
1 lorsque Leto II emmene Siona dans le desert
2 la mort de Leto II
3 La "fremenisation" de Paul
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Enfin bon, dans ce que j'ai dit, il faut aussi prendre en compte le fait que je n'ai pas encore lu tout le cycle (j'en suis à l'EDDD). Donc, mon jugement est peut-être faussé...
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Paradoxalement, j'adore le passage dans les HDD où Odrade à la tête d'un commando vient libérer/protéger/s'emparer (comme vous le comprenez!) de Sheana avec l'attaque des Danseurs-Visages...surtout la tronche des prêtres!
Je crois -dites-moi si je me trompe!- que c'est la première fois que FH décrit la capacité musclée et l'efficacité du BG...
J'adore ce que dit FH sur une armée d'hommes : la violence et les pulsions homosexuelles...! Fallait oser...
Il y a aussi les dialogues entre LetoII/Monéo et LetoII/Duncan...
Et aussi la découverte de Dar-es-Balat...
Et...
Bon! j'arrête là! :ace_zx11shocked:
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Je déterre ce sujet, parce que tout d'un coup je sais pas pourquoi je me demandais quel était le passage qui m'avait le plus marqué...
Evidemment comme tout le monde il y en a une floppée, aussi le choix est délicat...
Je pense que c'est à un moment, dans la maison des mères, lorsque deux Bene Gesserit (je ne me risquerait pas à donner leur noms... :o) se transmettent leur mémoires intérieures en se cognant les fronts... Evidemment mes souvenirs sont un peu flous, ça fait un p'tit bout de temps, mais cette scène, je l'imagine parfaitement bien et je la trouve étonnemment réelle... :ace_nuts:
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Dar et Tar dans les Heretiques? ou Dar et Murbella dans la Maison des Meres?
Le deuxieme est un des moments du livre qui m'a le plus marquee
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c'était dans la maison des mères, donc ça doit être Dar et Murbella si je crois ta mémoire Irene Corso
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Oui je me souviens de ce passage.
J'avoue que la lecture de la maison des mères remontent un peu mais je me souviens que ce passage était émouvant.
De mémoire, Odrade se "sacrifie" il me semble non?
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la plupart des scènes pour faire retrouver la mémoire aux différents gholas sont souvent poignantes ... sinon la fin des hérétiques !